À l’approche de l’hiver, les propriétaires sont parfaitement conscients de ce qu’il faut faire pour garder la maison au chaud. Il n’y a pas de réponse standard pour choisir la meilleure source de chauffage. Des facteurs tels que le climat, le mode de vie et le budget jouent un rôle dans le choix du système de chauffage le plus pratique.
Le paradoxe confort-pollution
Les combustibles fossiles ont la réputation de pollueur en rejetant des particules non brûlées dans l’air. Dans certaines régions, il existe des réglementations strictes sur le type de poêles que vous pouvez utiliser, ainsi que sur la période d’utilisation, ce qui est problématique si vous en dépendez comme source de chaleur principale.
Heureusement, de nombreuses options de combustibles traditionnels, telles que le bois, le charbon et le pétrole, ont été grandement améliorées avec des taux d’efficacité plus élevés et des progrès en matière de qualité de l’air. Cela vaut la peine de jeter un coup d’œil à certains que vous avez peut-être rejetés.
Vous souhaitez déterminer le type de combustible de chauffage le mieux adapté à votre mode de vie ? Adressez-vous à un fournisseur de combustible comme GÉRARD TAMPIER. Il effectue, non seulement la vente et la livraison des produits, mais donne également des conseils pratiques en matière d’économie de chauffage. Vous trouverez sa station-service à Septfonds.
Les paramètres de sélection des principaux combustibles
– Coûts d’installation du chauffage au bois : attendez-vous à payer entre 1 000 € et 5 000 € pour un nouveau poêle, selon le style et les exigences de la cheminée (que vous ayez déjà une cheminée ou que vous deviez en installer une nouvelle). Le choix d’un poêle à bois certifié EPA ajoute quelques centaines d’euros à la facture finale, mais il est rentable car il permet une combustion plus complète du bois.
– Propreté des combustibles bois : l’un des plus grands inconvénients du bois est le désordre. Lorsque vous transportez du bois, vous ramenez souvent des insectes et vous perdez beaucoup d’écorce et de morceaux. De manière générale, nettoyer les cendres au fond du poêle produit aussi la poussière.
– Coûts du bois de chauffage : le bois peut être aussi bon marché que le carburant et l’entretien de votre tronçonneuse si vous possédez une exploitation. Si vous achetez votre bois, attendez-vous à dépenser entre 150 et 225 € par cordon (une pile de 2 mètres de haut, 2 mètres de large et 4 mètres de long) en fonction de votre emplacement et du type de bois. La plupart des consommateurs utilisent 4 à 6 cordons par saison.
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– Disponibilité du bois : ce qu’il faut brûler dépend de ce qui pousse autour de vous. Dans l’est de la France, les feuillus comme le chêne et l’érable sont les meilleures options, car ils brûlent à chaud et proprement. Dans d’autres régions, vous trouverez plus de pins et de mélèzes. Et même si ce ne sont pas les types de bois idéals, ils sont pratiques. Quelle que soit l’essence utilisée, assurez-vous de nettoyer régulièrement la cheminée pour minimiser l’accumulation de créosote.
– Problèmes de qualité de l’air : les poêles certifiés EPA produisent beaucoup moins de fumée que les anciens modèles et utilisent un tiers de carburant en moins. Moins de fumée signifie une meilleure combustion.
– Coût d’installation du gaz naturel : vous pouvez installer une fournaise murale au gaz propane pour 1 000 € à 2 000 €. Les plus grandes unités autonomes qui chauffent toute la maison coûteront entre 2 000 € et 3 500 €, selon le niveau d’efficacité. Les meilleurs sont efficaces à 96 % ; ils coûtent plus chers à l’installation, mais réduiront les factures mensuelles.
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